Après 3 heures et 31 minutes de jeu sous le soleil Parisien, Nadal se tient encore debout sur le court. Il y centre l’attention du monde pour la neuvième fois sur son humble personne. Comment le
Au début des Internationaux de France nous savions quel serait le probable tableau final de cette quinzaine, « un classico » entre Novak le serbe et Nadal, l’ogre. Ce duel tant espéré serait promesse de beau jeu, d’engagement, de lutte, d’abnégation. Nadal et Djoko sont des « winners » et ils préféreraient mourir que de perdre mais « dura lex sed lex », un des deux devait s’incliner. Une citation de Nadal résume bien son état d’esprit « Ce n’est pas que j’aime gagner mais je déteste
Deuxieme set, Nadal se lâche. Peu à peu, il a pris les rênes du second set grâce à un jeu plus incisif, plus agressif et grâce à la canicule qui a eu beaucoup plus d’effet sur le rendement du serbe. Les deux meilleurs joueurs mondiaux se livraient bataille coup pour coup mais on sentait que Nadal avait pris l’avantage. Il jouait libéré de la pression qui l’avait habité
Le troisième se solda sur un cinglant 6/2 pour Rafa et la double faute de Nole sur son service à la fin du quatrième set ferma le livre de
Aucun joueur n’avait remporté neuf fois le même grand chelem! Avec désormais 14 tournois majeurs à son actif, Rafa n’est qu’à trois unités d’un certain Roger Federer… Et à seulement 28 ans l’ibère a encore de beaux jours de tennis devant lui pour espérer marquer un peu plus les esprits et être considéré comme meilleur joueur de l’histoire à la fin de sa carrière.
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