Photos exclusives de souvenirs laissés par Maurice Sixto, plus grand conteur haïtien

Le 12 mai 1984, Maurice Sixto s’éteignait. Il avait 65 ans. Considéré presque à l’unanimité comme le plus grand conteur haitien, Sixto a laissé des perles comme Lea kokoye, Ti Sentaniz, Met Zabelbok, et plus encore. Pour commémorer le 37e anniversaire de sa disparition, AyiboPost, en partenariat avec la Fondation Maurice Sixto, présente ce reportage-photo, qui met en avant une partie de la vie de l’artiste.

De son passage en Afrique, notamment en République démocratique du Congo, à sa vie familiale, en passant par son métier d’artiste, des photographies ont fixé le visage de Maurice Sixto dans le temps. Comme son œuvre, Maurice Sixto n’est pas mort, et ne meurt pas.

Acte de naissance de Maurice Sixto.

Passeport consulaire de Maurice Sixto.

Maurice Sixto et son épouse Marie Thérèse TORCHON. C’est en Afrique, où elle était aussi enseignante, qu’ils se sont rencontrés.

Album de famille

Magnétophone avec lequel Maurice Sixto enregistrait ses histoires.

Pochette originale de Lea Kokoye, première œuvre de Maurice Sixto. La couverture est du célèbre peintre Tiga.

Canne de Maurice Sixto.

Portefeuilles de Maurice Sixto.

Lunettes. Plumes de poule. Restes d’un cigare.

Dans cet attaché-case, Maurice Sixto transportait ses documents.

Ce drapeau haitien accompagnait toujours l’artiste, quel que soit l’endroit où il se trouvait.

Maurice Sixto portait ce pyjama au moment de sa mort.

Pochette de CD. C’est sur ce fauteuil rouge que Maurice Sixto a pris feu, alors qu’il fumait une cigarette. Il meurt plus tard à l’hôpital, des suites d’un arrêt cardiaque provoqué par les brûlures.

Maurice Sixto, après une intervention chirurgicale des yeux, à Cuba.

Maurice Sixto et ses collègues, au Congo Kinshasa.

Tranches de vie quotidienne de Maurice Sixto en Afrique.

Cadeau d’un dictateur africain, le général Joseph Désiré Mobutu à Maurice Sixto. Mobutu était président de la République démocratique du Congo, de 1965 à 1997.